Contrairement à ce que nous dit le premier ministre, la guerre qui nous est faite n’est pas une première sinon par sa dimension. C’est une guerre dite asymétrique et nous savons très bien comment elles se déroulent… et se terminent.
Au temps où le pays ne s’intéressait pas aux combats menés par son armée professionnelle au bout du monde ni à ses pertes qui étaient pourtant considérables, nous en avons mené une. C’était en Indochine. Nous l’avons perdue, comme les Américains d’ailleurs après nous, parce que nous la menions en uniforme, l’arme à la
main, et que nos assaillants passaient du rôle de paisibles citadins ou paysans à celui de combattant acharnés entrant seulement en action quand la situation leur était favorable. Mais aussi parce que l’ennemi avait des complices en France même – les communistes – qui nous trahissaient en renseignant l’ennemi et même collaboraient avec lui en sabotant nos munitions ou en obligeant nos militaires à embarquer clandestinement à Marseille, jetant l’opprobre sur nos armées.
Dans ce type de guerre qui peut commencer avec d’un côté des dizaines de milliers de soldats professionnels et de l’autre un petit nombre d’individus utilisant une stratégie vieille comme le monde, ce sont les prétendus faibles qui l’ ont toujours emporté. L’Algérie en est une illustration parfaite.
Ceux qui nous gouvernent actuellement feraient donc bien d’analyser soigneusement ce qui s’est passé là-bas ou une poignée d’Algériens sont entrés en rébellion par des violences inouïes, amenant des représailles qui ne le furent pas moins, fédérant autour de ses initiateurs les familles des victimes, souvent innocentes, de notre répression. Situation se répétant jour après jour, semaine après semaine, jusqu’à rassembler l’ensemble du pays à l’exception de ceux qui nous étaient restés fidèles et que nous avons abandonnés à la vindicte des vainqueurs.
Il en sera de même dans la guerre qui nous est faite avec chez nous des chevaux de Troie que sont les djihadistes revenus de Syrie, soutenus par les liens familiaux ou d’amitié voire par l’appartenance à des bandes délinquantes qui les ont éloignés de l’école et/ou du civisme, dont les membres même bien intégrés leur accordent assistance lorsqu’ils passent à
l’action ou pour les soustraire à la répression, communauté de religion oblige.
Dès lors il est évident en ce qui concerne notre pays que c’est dans ce vivier de djihadistes en puissance que nous devrions travailler dès maintenant car ses membres seront majoritaires dans le pays dans trente ans et le gouverneront selon leur idéologie religieuse.
C’est là, notre problème majeur.
S’il faut bien sûr punir à la hauteur de leurs crimes ceux qui passent à l’acte, nous devons surtout protéger les plus jeunes, dès la maternelle, de l’influence de ceux qui les endoctrinent. Il est relativement facile de les identifier : nos services de renseignements peuvent faire enregistrer par des Français musulmans désireux de ne pas entrer dans la logique des
djihadistes des discours d’imams salafistes et faire décider de leur expulsion quand ils sortent de leur seule fonction qui est de guider la prière.
Encourager le djihad, Monsieur le ministre de l’intérieur, ce n’est pas l’expression d’une opinion comme une autre, c’est une trahison du pays qui vous accueille ou est le vôtre. Il faut renvoyer chez eux ceux qui ne sont pas Français, qui relèvent des tribunaux. S’ils le sont, les faire condamner pour complicité avec l’ennemi. C’est la loi de la guerre et nous sommes en guerre : c’est le Président de la République qui le dit et il doit savoir ce qu’il dit !
Ce serait un travail de longue haleine que nous devrions décider tout de suite : soustraire dès la maternelle les jeunes enfants, garçonnets ou fillettes, de quelque origine qu’ils soient à l’influence de leur milieu.
Cela passe par une redéfinition de la mission de l’école. Vu sous cet angle, et quelles que soient les compétences de Madame Najaf Vallaud-Belkacem, elle n’est pas le ministre qui pourrait réformer dans ce sens l’éducation nationale. Il nous faut un nouveau Jules Ferry, il doit bien en exister un !
Faute de le faire, nous serons au mieux des dhimmis ou bien, comme le furent les Perses qui avaient pourtant une brillante civilisation, islamisés dans un nouvel Empire Ottoman dont rêve, n’en doutons pas, l’actuel Président Erdogan, auquel nous payons d’avance avec les milliards que nous lui donnons pour soi-disant garder chez lui les migrants, la corde pour nous pendre. Comme le disait Lénine quand nous sauvions son pays de la famine en finançant les emprunts russes qui n’ont jamais été remboursés !
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Vénéra
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