Mai 1968 ! « Il est interdit d’interdire ». « Sous les pavés, la plage ». Mouvement dit populaire, ne concernant absolument pas le peuple, au rebours de ce que nous subissons en ce moment dans nos rues. Seulement une agitation désordonnée, violente parfois, initiée par des enfants gâtés de la classe aisée de notre pays. Ceux que l’on appelait alors les « bourges ». Voir leurs enfants, rejoints assez vite par ceux des moins lotis, encouragés très fortement par ceux, plus âgés que l’on n’appelait pas encore les bobos mais qui l’ étaient déjà, occuper la Sorbonne, ce qui situe bien le niveau social des «révolutionnaires», barrer les rues, monter des barricades, affronter les forces de l’ordre, mettre à mal un gouvernement. Tout cela était une première en France. Surtout
s’agissant de celle du général de Gaulle qui venait de la sauver après des décennies d’errance politique durant lesquelles les gouvernements des 3°et 4°républiques duraient trois mois chacun, avec un jeu de chaises musicales qui permettait à tout sortant ou presque de se retrouver à nouveau ministre, à un nouveau poste, dans une autre combinaison politique.
Quelle est donc la cause majeure à la source de cette « révolution » de 1968 ? C’était pourtant une époque du plein emploi, de prospérité, où chacun trouvait ou retrouvait vite un travail, sans avoir recours à une quelconque administration. L’étincelle qui déclencha tout avait une motivation des plus dérisoire ! En ces temps là les jeunes privilégiés s’ennuyaient tellement de cette monotonie de la vie sans surprises pour eux qu’ils décidèrent de s’attaquer à un tabou qui relevait des mœurs de l’époque : les garçons ne pouvaient aller rendre visite aux filles dans leurs chambres dans les cités universitaires !
Ce fut un beau charivari durant deux mois, pendant lesquels nous avons vécu ce qui ressemblait à une révolution. Ce n’en était pas une, mais plutôt la naissance d’une nouvelle classe, dans notre société endoctrinée par Sartre et Simone de Beauvoir, Madame Dolto et quelques autres. Jacques Lang fut, avec Cohn-Bendit, de ceux qui jetaient de l’huile sur le feu. Ainsi sont nés les bourgeois bohèmes : les « bobos ». Dont certains tiennent maintenant chez nous le haut du pavé et d’autres – et pas des moindres – nous gouvernent.
Leur révolution prit fin spontanément avec les grandes vacances d’été favorisées par la réouverture des stations services que les mouvements de rue avaient jusque là empêchées de remplir leur cuve ! Pendant toutes ces journées les syndicats ouvriers se tinrent à l’écart puis finirent par prendre le train en marche. Plus par opportunité que par conviction car ils savaient que le peuple dans son ensemble n’était pas concerné. C’est ainsi que les accords de Grenelle ont pu être signés, les syndicats ayant tout intérêt à mettre fin à un épisode social qu’ils n’avaient pas initié.
De Gaulle, dépassé par des événements qu’il ne comprenait pas, était allé voir le général Massu à Berchtesgaden et mobilisait un régiment à Versailles, tandis que Pompidou gérait habilement le quotidien et que le préfet de Paris contrôlait la situation autant que faire se pouvait mais évitait toutes les bavures possibles.
De retour à Paris, le Général de Gaulle commit ce que l’Histoire, quand elle aura pris assez de recul avec les événements pour pouvoir mieux les juger, considérera comme une faute majeure : l’abandon à la gauche du monopole de la culture qui, depuis, imprègne tellement les esprits de notre temps que de nombreux personnages qui se disent de droite sont inconsciemment de gauche ! Et Jack Lang donne toujours le la.
L’Histoire mettra un jour en évidence la responsabilité des bourgeois bohèmes du genre de ceux qui nous gouvernent. L’archétype en est celui qui fut surpris par un paparazzi, un casque sur la tête, rendant visite à sa maîtresse du moment, tandis que la précédente – un moment première dame – était renvoyée chez elle sans autre forme de procès mais non sans remous et que la mère de ses quatre enfants, jamais épousée, est devenue ministre inamovible. Voila qui consacre au sommet de l’Etat ce qui jusque là n’avait atteint que la haute administration.
Les historiens du futur, dans une France devenue musulmane et ayant oublié son Histoire, y trouveront la source de notre chute, comparable à celle de l’Empire Romain !
Des jeux et du pain.
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TaGmLaPute
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wesh la mif lepen je voudrais savoir se que sa fait de se faire enculer par des enfant noir roux chinois arab armenien et neonasi?
Allerrrrrr bisou les michto
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