La Droite Libre est en deuil.

Notre ami Thierry Auran, un des responsables les plus actifs de la Droite Libre, nous a quittés brutalement des suites d’un malaise cardiaque, à l’âge de 49 ans. Il était jeune père de famille, de deux enfants de six et un an. Thierry Auran était un militant de conviction extrêmement actif et n’était jamais avare ni de son temps, ni de son énergie, pour défendre ses idées et notre mouvement. Sa fonction l’obligeait à prendre les pseudonymes de Luc Duloiret ou Thierry Get. Il était également membre du bureau politique du CNI. À son épouse Elena et à ses proches, La Droite Libre et son président Christian Vanneste, adressent leur plus vives condoléances.  

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La Droite Libre se réjouit de la victoire éclatante de François Fillon à l’élection primaire acquise sur le socle de valeurs et de convictions sur lequel notre mouvement s’est constitué, le diptyque libéral-conservateur, naguère inaudible, mais que les commentateurs répètent désormais à l’envi. Cependant, la victoire à la primaire n’est que la première étape d’un long chemin qui doit mener François Fillon à l’élection présidentielle d’abord, ensuite et surtout, à conduire la politique selon la ligne qu’il a fixée.

François Fillon a assuré, durant toute la campagne électorale, que son programme n’était pas négociable. Ce fut la clef de son succès. Pourtant, les voix ont déjà commencé à poindre qui lui demandent telle ou telle inflexion en échange d’un appui intéressé.

François Fillon est assuré que La Droite Libre sera extrêmement vigilante et ne manquera pas, à chaque tentative de le faire dévier de sa ligne, de lui marquer son soutien en même temps qu’elle n’hésitera pas à se mettre en retrait si la détermination ou la fermeté venait à lui manquer.

Mais c’est une hypothèse à laquelle ni La Droite Libre ni son président, Christian Vanneste, ne croient, tant le souffle de la victoire d’hier est fort et repose sur une France ferme sur son identité, inquiète mais désormais confiante en son avenir.

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Alors qu’en Tunisie, l’enquête sur l’attentat du Bardo est sabotée par un pouvoir vendu aux islamistes, alors que des policiers tunisiens qui ont levé le voile sur ces sabotages sont condamnés pour des motifs fallacieux, alors qu’un avocat courageux a dénoncé à François Hollande et à Manuel Valls ce camouflet porté aux familles des morts français, rien, aucune protestation officielle de la France devant ce qui est un scandale judiciaire avéré !!!

Après tout, que la justice tunisienne soit ce qu’elle est, on ne peut guère s’en étonner avec son gouvernement actuel, pas si éloigné que cela des islamistes. Mais que notre président et notre gouvernement, parfaitement au courant de cette infamie,

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Christian Vanneste, président de La Droite Libre, commente dans « Boulevard Voltaire » la révolte des policiers

Les policiers aujourd’hui, comme les militaires de tout temps, risquent leur vie. On vient les assassiner chez eux. On les achève lorsqu’ils sont blessés. On leur lance des cocktails Molotov quand on ne leur tire pas dessus. Des manifestants violents les prennent directement pour cibles. Des slogans meurtriers sont lancés à leur encontre. Des magistrats semblent plus enclins à les poursuivre et à les condamner qu’à donner suite rapidement et efficacement aux procédures qui leur ont demandé beaucoup de travail. Leur hiérarchie et le pouvoir politique prétendent interdire aux policiers d’exprimer leur sentiment de révolte lorsqu’un des leurs lutte entre la vie et la mort après une agression d’une rare…

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