J’avais un a priori positif pour Monsieur Blanquer. Il était pour moi le seul ministre de la Macronie qui tenait la route, ce qui est tout de même très important quand on est « en Marche ».
Le fait que Macron engage quelqu’un de compétent me surprenait un peu, mais après tout il fallait lui accorder le bénéfice du doute. Son projet paraissait bon, même si le programme Macron manquait d’envergure. On pouvait espérer qu’en piochant un bon spécialiste de l’enseignement, le programme allait s’étoffer.
Ça avait plutôt bien commencé avec le refus de la méthode globale, même si tout le monde sait que la méthode globale en tant que telle n’est plus appliquée que de façon marginale. Mais les méthodes actuelles, mélange de global et de syllabique, ne sont pas efficaces. Il avait donc raison. Même si le rôle du professeur reste déterminant, quelle que soit la méthode « officielle ».
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