Le Parisien fait le point, dans son édition du 9 mars, sur les états d’âme qu’éprouverait le Premier secrétaire à vie du Parti socialiste, à la perspective d’avoir à remettre les clefs de l’Élysée à Marine Le Pen. Plus que jamais convaincue de la victoire nette de François Fillon à cette présidentielle, La Droite Libre n’évoquera donc pas le lot de consolation hilarant que serait une telle transmission de pouvoirs en cas de défaite.
Nous ne rirons pas de dérision à la mi-mai, rions tout de suite de cet individu, Président de la République par hasard, en nous rapprochant de Dieu qui, comme disait Bossuet « se rit de ceux qui maudissent les conséquences des causes qu’ils chérissent ».
Partagez avec vos amis