L’Europe s’est mobilisée samedi et dimanche derniers contre son islamisation. En France, les infatigables Riposte Laïque et Résistance Républicaine ont relayé cette mobilisation qui n’a pas eu l’heur d’être appréciée du gouvernement. À Calais, on a même gardé à vue un Général de Corps d’Armée, ancien patron de la Légion étrangère et des cabinets des trois Premiers ministres socialistes de la législature 1988-1993. En revanche, on ne sache pas que les gredins, autopromus no borders et qui excitent les clandestins contre les forces de l’ordre aient été le moins du monde inquiétés.
En Ile-de-France, plus de cinq cents participants se sont retrouvés dimanche à Rungis autour d’une douzaine d’intervenants dont j’ai eu l’honneur de faire partie. Si nous ne devions retenir qu’une seule intervention parmi toutes celles de la journée, ce serait le témoignage poignant de la Calaisienne Simone Héricourt, sur le calvaire qu’endurent au quotidien les habitants de Calais dans l’indifférence des pouvoirs publics, si ce n’est leur complicité avec les cohortes de voyous et d’ultra-gauchistes qui les attisent. On y apprend notamment que ce qu’on appelle la jungle de Calais est un territoire autonome, avec ses propres commerces et services, qui échappe totalement à l’État et aux forces de l’ordre qui y sont personae non gratae.
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