Tous les Cassandres sont d’accord : 2017 devrait voir une alternance du pouvoir. La question qui n’est jamais abordée est celle de la définition de ce pouvoir. Il est pourtant clair que, contrairement à la gauche, la droite au sens large ne dispose pas de la toile patiemment tissée depuis près d’un siècle par une armée qui s’auto-proclame « progressiste ». Une toile qui s’étend depuis les bancs de l’école jusqu’aux syndicats dont les pouvoirs de nuisance dépassent de loin leur représentativité. Ne nous y trompons pas, le désamour qui s’est
L’Ambassadeur de Russie à Paris : « nous voulons une Europe indépendante »
Invité de La Droite Libre, Artiem Studenikov, ministre conseiller de l’Ambassade de Russie à Paris, a passionné l’assistance la plus nombreuse et la plus attentive jamais réunie à ce jour par notre mouvement. Autour de lui, outre Christian Vanneste, président de La Droite Libre, les deux députés Thierry Mariani et Nicolas Dhuicq, à l’origine de la résolution votée ce matin 28 avril par l’Assemblée nationale pour mettre fin aux sanctions économiques contre la Russie, ainsi qu’Yvan Blot, ancien parlementaire et auteur de La Russie de Poutine, préfacé par Philippe de Villiers et dont le nombre d’exemplaires disponible n’a pas suffi à satisfaire la demande des nombreux convives.
Un village autrichien
Aux marches de l’État de Salzbourg, le plus prospère et le plus coquet de tout le pays, et de la Styrie qui jouxte la Slovénie et la Hongrie, le village de Filzmoos doit son essor au choix d’un paysan local d’y aménager en 1971 un hôtel de luxe dans sa vieille ferme du XVIe siècle. Depuis, les hôtels de charme s’y sont agglutinés pour faire de cette bourgade de 1 500 âmes, une élégante station de sports d’hiver comme de loisirs d’été, à destination avant tout des Allemands. Ils s’y sentent chez eux, climat et gastronomie en plus. Filzmoos abrite, entre autres, les prestigieux fourneaux de Johanna Maier, un des deux seuls chefs autrichiens doublement étoilés au Michelin.
Nouveau chantier socialiste
L’encre n’est pas encore sèche pour une loi Travail qui devait aider les entreprises et a fini par les handicaper un peu plus, qu’un nouveau « chantier ambitieux » nous est annoncé par Manuel Valls. Une fois de plus, l’enfer socialiste est pavé de bonnes intentions. Il s’agit pour le Premier ministre de réduire la complexité de nos prestations sociales (RSA, AAH, ASAPA etc.) en les fusionnant afin de les remplacer par une couverture socle unique complétée en fonction des situations individuelles. Une première suspicion nous envahit quand on entend qu’un rapport du député socialiste Christophe Sirugue servira de base, un contenu précis étant élaboré pendant les six prochains mois, pour une mise en œuvre en 2018.