Les vingt-sept pays de l’Union européenne hors le Royaume-Uni s’apprêteraient, dit-on, à capituler devant les exigences du Premier ministre britannique, sous peine que celui-ci ne défende plus le maintien de son pays dans l’Union européenne. Et, parmi les exigences de Cameron, il y a, par exemple, celle de rester en dehors de la zone euro tout en ayant un droit de regard sur son fonctionnement. Et puis quoi encore ? serait-on tenté de dire. Pour grossière qu’elle soit, cette exigence n’a rien de nouveau. Elle n’est qu’un épisode du sabotage constant de la construction européenne que le Royaume-Uni a engagé il y a quarante-trois ans, lorsque la France de Georges Pompidou avait eu la mauvaise idée de laisser entrer le loup dans la bergerie.
La France s’est mobilisée contre son islamisation
L’Europe s’est mobilisée samedi et dimanche derniers contre son islamisation. En France, les infatigables Riposte Laïque et Résistance Républicaine ont relayé cette mobilisation qui n’a pas eu l’heur d’être appréciée du gouvernement. À Calais, on a même gardé à vue un Général de Corps d’Armée, ancien patron de la Légion étrangère et des cabinets des trois Premiers ministres socialistes de la législature 1988-1993. En revanche, on ne sache pas que les gredins, autopromus no borders et qui excitent les clandestins contre les forces de l’ordre aient été le moins du monde inquiétés.
En Ile-de-France, plus de cinq cents participants se sont retrouvés dimanche à Rungis autour d’une douzaine d’intervenants dont j’ai eu l’honneur de faire partie. Si nous ne devions retenir qu’une seule intervention parmi toutes celles de la journée, ce serait le témoignage poignant de la Calaisienne Simone Héricourt, sur le calvaire qu’endurent au quotidien les habitants de Calais dans l’indifférence des pouvoirs publics, si ce n’est leur complicité avec les cohortes de voyous et d’ultra-gauchistes qui les attisent. On y apprend notamment que ce qu’on appelle la jungle de Calais est un territoire autonome, avec ses propres commerces et services, qui échappe totalement à l’État et aux forces de l’ordre qui y sont personae non gratae.
Le politiquement correct allemand ment…
Par Christian Vanneste, Président de La Droite Libre
Les agressions qui ont entaché les festivités de la nuit de la saint-Sylvestre à Cologne, mais aussi à Francfort, Stuttgart et Hambourg, entre autres, ne sont pas des incidents, mais un signal d’alerte d’une importance capitale.
Les faits sont hélas établis. A Cologne où ils ont été les plus graves, sur le parvis de la très célèbre cathédrale, à partir de 21 h 30, la sécurité des citoyens n’a plus été assurée, des valeurs essentielles de nos sociétés occidentales, largement inspirées par le christianisme, ont été bafouées. La foule massée sur place, sans doute plus de 2000 personnes a permis, parfois en isolant les victimes, des vols, des attouchement sexuels, deux viols, sans que la police puisse faire respecter la loi et l’ordre. Des femmes en pleurs se sont réfugiées ici et là, par exemple sous la protection de vigiles d’un grand hôtel.
> Cette délinquance de masse est déjà inacceptable en soi et devrait condamner les responsables politiques et policiers qui la