Avocat au barreau de Paris et à la Cour Pénale Internationale, Gérald Pandelon est docteur en droit privé-sciences criminelles et docteur en science politique, diplômé de Science-Po. Chargé d’enseignement, auteur de plusieurs ouvrages, il est également membre du Bureau Politique de La Droite Libre.
En tant qu’avocat, je souhaiterais remercier solennellement la police, pour son travail, la remercier pour tous les bienfaits qu’elle procure à notre nation, une nation menacée par les propos irresponsables d’agitateurs politiques, au premier rang desquels M. Jean-Luc Melenchon, dont les propos selon lesquels « la police tuerait » dépassent l’entendement, à supposer d’ailleurs que cet extrémiste en comprenne vraiment la portée.
Car qu’avez-vous à dire Monsieur Melenchon face aux suicides à répétition dans la police ? rien…
Qu’avez-vous à dire face aux agressions quotidiennes subies par les forces de l’ordre dans notre pays, pays dont vous souhaiteriez être le prochain ministre ?
Comment entendez-vous conduire et déterminer la politique de la nation en cas de nomination puisque vous insultez l’institution clé de maintien de l’ordre au sein de notre Etat, la police ?
Préférez-vous le désordre, l’anarchie, la violence imposée par les « blacks blocs » dans toute manifestation fût-elle pacifique, à l’ordre et à la tranquillité publique appelée de ses voeux par une grande majorité de nos concitoyens ?
Souhaitez-vous le chaos généralisé pour, en définitive, exister ?
Préférez-vous l’assassinat d’un fonctionnaire de police à celui d’un voyou, et ce, même si ledit délinquant est en état de récidive ?
J’ai acquis la conviction que, par idéologie, vous préférez le mal au bien, le désordre à l’ordre, la violence à la paix, vous êtes un danger pour notre République.